Bio
J'ai grandi à Bordeaux et étais élevée par des parents épris de liberté, ma mère libraire m'a transmis l'amour de la littérature et mon père consul du Nicaragua m'a apporté une ouverture d'esprit par ses actions en faveur des minorités poursuivies par les dictatures d'Amérique latine. Notre maison, transformée en lieu d'accueil m'a offert un regard sur le monde, horrifiée autant qu'optimiste et j'ai fait miens les combats antimilitaristes, sociaux et écologiques de mes parents.
Après l'IAE de Bordeaux et prédisposée à des métiers liés à la gestion des entreprises, j'ai opté pour une carrière dédiée au social et aux autres. Puis, à la faveur d'un évènement personnel douloureux, ma plume s'est faite plus lourde et plus présente.
Fervente défenseure des droits des opprimés et en particulier des animaux, je crois en la littérature et à ce temps long donné aux lecteurs pour comprendre, découvrir et réfléchir.
Lire est un rendez-vous avec soi-même et l'auteur, une bulle d'intimité que je veux déployer autour de mes lecteurs.

Influences
Exercice difficile que de citer ses auteurs de prédilection, alors en vrac et spontanément, je dirais:
Lewis Caroll, Mickaël Boulgakov, Franz Kafka, Boris Vian, Milan Kundera ...
Mais aussi, Delphine de Vigan, Olivier Adam, Sofia Oksanen, Daniel Pennac...
Et de manière plus globale, le mouvement surréaliste m'envoûte et me touche. Les peintures de Paul Delvaux, de Magritte, de Dali m'emportent dans une expérience sensorielle que je ne saurais expliquer que par la passion d'un monde onirique, en dehors du temps et en dehors de tout enfermement. Par essence le surréalisme est la Liberté.


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